Garanties décès des régimes obligatoires

A peine 3 400 euros pour les salariés, un peu plus du double pour les artisans commerçants. Et même si l’on rajoute les allocations veuvages, les rentes pour accident du travail et maladie professionnelle ou encore la pension d’orphelin, les sommes versées en cas de décès dans les régimes de Sécurité sociale de base restent largement insuffisantes pour maintenir le niveau de vie familial.
Chaque régime définit ses propres règles. Globalement, on peut noter une tendance à l’alignement pour le Régime général de la Sécurité sociale - auquel sont affiliés les salariés du privé et assimilés d’un côté et les travailleurs indépendants de l’autre, chacun sous un statut propre - et celui des fonctionnaires, avec tout de même quelques variantes.
Parmi les spécificités en matière de décès, on peut noter la protection supplémentaire réservée aux cadres du secteur privé entièrement financée par l’entreprise, communément appelé le « 1,50 % patronal ».
Les montants assurés par les régimes de base en cas de décès ont beau être faibles, ils n’en demeurent pas moins qu’ils restent délivrés sous un certain nombre de conditions liées à l’affiliation aux caisses concernées.
Questions pratiques - Garanties décès des régimes obligatoires
- Qu’est-ce que l’allocation veuvage ?
- Qui peut bénéficier de l’allocation veuvage ?
- Comment obtenir une allocation veuvage ?
- Qu’est-ce que le capital décès ?
- Quel capital décès pour les salariés ?
- Quel capital décès pour les fonctionnaires ?
- Quel capital décès pour les travailleurs indépendants ?
- Quelles sont les garanties prévoyance décès des salariés cadres ?
- Quelles garanties décès en cas d'accident du travail ou maladie professionnelle ?
- Quelles sont les garanties prévoyance décès des professions libérales ?
- Quelles prestations décès pour les avocats ?
- Puis-je percevoir une pension d’orphelin ?
- Quelle rente pour l’ayant droit en cas d’accident du travail ou maladie professionnelle ?