- Indemnités de fin de carrière (IFC) : qu'est-ce que c'est ?
- Vous partez volontairement à la retraite
- Votre employeur vous met à la retraite d’office
- L’accompagnement au départ à la retraite : l’indemnité de départ à la retraite des indépendants
- Autres questions sur l’indemnité de départ à la retraite (IFC)
- Est-il possible de cumuler l’indemnité de fin de carrière avec d’autres sommes ?
- Est-il possible de bénéficier d’une prime de départ à la retraite en cas de retraite progressive ?
- Est-il possible de négocier le montant de mon indemnité de départ à la retraite ?
- Qui paie les indemnités de fin de carrière ?
Calculer son indemnité de départ à la retraite : le simulateur 2025
Votre départ à la retraite approche ? Bonne nouvelle : vous allez peut-être toucher une indemnité de fin de carrière ! Il s’agit d’une somme versée par votre employeur au moment de votre départ à la retraite.
Si vous décidez volontairement de partir à la retraite et que vous justifiez d’une ancienneté suffisante, vous toucherez l’indemnité de départ à la retraite. Si votre employeur décide de vous mettre à la retraite d’office, vous percevrez l’indemnité de mise à la retraite.
Notre contenu vous permettra de mieux anticiper la somme que vous allez toucher. Nous vous expliquons comment calculer vos indemnités de départ à la retraite, que vous soyez à temps plein ou à temps partiel ! Suivez le guide.
Sommaire :
Indemnités de fin de carrière (IFC) : qu'est-ce que c'est ?
Les indemnités de fin de carrière sont une somme versée par l’employeur au salarié lors de son départ à la retraite.
Si vous êtes salarié, vous aurez droit automatiquement à une indemnité de fin de carrière si votre employeur vous met d’office à la retraite. À l’inverse, si vous partez à la retraite de votre propre initiative, le versement d’une indemnité de fin de carrière est soumis à plusieurs conditions.
Deux types d’indemnités de fin de carrière peuvent ainsi être envisagés :
- L’indemnité de mise à la retraite, versée en cas de mise à la retraite d’office par l’employeur ;
- L’indemnité de départ à la retraite, pour les départs volontaires à la retraite.
Ces deux types d’indemnités de fin de carrière sont prévues par le Code du travail, qui en fixe le montant minimal. Les conventions collectives peuvent prévoir des dispositions plus favorables que la loi en la matière, pensez-donc à les analyser avant votre départ à la retraite !
Les indemnités de fin de carrière font partie de la catégorie, plus large, des indemnités de fin de contrat.
Vous partez volontairement à la retraite
Conditions pour bénéficier de l’indemnité de départ à la retraite
Si vous partez volontairement à la retraite, c’est-à-dire sans que votre employeur ne vous y aie contraint, le bénéfice de l’indemnité de départ à la retraite est soumis à trois conditions.
Avoir atteint l’âge légal de départ à la retraite
Vous devez avoir atteint l’âge légal de départ à la retraite (soit entre 62 et 64 ans en fonction de votre année de naissance). Il s’agit de l’âge auquel vous pouvez procéder à la liquidation de vos droits dans les régimes de retraite de base et complémentaire.
Seul le fait d’avoir atteint l’âge légal est requis. Il n’est pas nécessaire que vous ayez atteint l’âge du taux plein pour bénéficier des indemnités de fin de carrière.
Avoir fait sa demande de retraite
Seconde condition : vous devez avoir effectué votre demande de liquidation de l’ensemble de vos pensions de retraite de base et complémentaire.
Justifier d’une certaine ancienneté
Troisième condition, de loin la plus importante : la loi soumet le bénéfice de l’indemnité de départ à la retraite à une condition d’ancienneté. Vous devez avoir travaillé au moins 10 ans dans votre entreprise pour la percevoir.
Cette ancienneté est calculée au moment de la notification de votre départ à la retraite, c’est-à-dire qu’elle prend fin au jour de la date d’envoi de la lettre de rupture.
Attention ! Votre convention collective peut prévoir des dispositions différentes de celles prévues par la loi. Analysez bien la vôtre car il se peut qu’elle vous ouvre le droit à une indemnité de départ à la retraite même si vous ne justifiez pas de 10 ans d’ancienneté dans votre entreprise. C’est par exemple le cas dans les CCN suivantes :
- CCN des ETAM BTP et celle des cadres BTP, qui ouvrent droit à une indemnité de départ à la retraite dès 2 ans d’ancienneté en cas de départ à l’initiative de l’ETAM ;
- CCN de la métallurgie, qui ouvre également droit à des indemnités de départ à la retraite, en cas de départ volontaire du salarié, dès 2 ans d’ancienneté ;
- CCN Syntec (bureaux d’études techniques), qui ouvre droit à une indemnité de départ à la retraite dès 5 ans d’ancienneté.
- CCN commerce de gros, qui permet de bénéficier d’une allocation de départ à la retraite dès 2 ans d’ancienneté.
Votre convention collective peut également imposer à l’employeur de regarder l’ancienneté acquise dans la profession (et pas seulement dans l’entreprise).
Simulation : calcul de l’indemnité de départ à la retraite
Calculer son salaire de référence
Si vous souhaitez réaliser une simulation du montant de votre indemnité de départ à la retraite, la première chose à faire est de calculer votre salaire de référence.
Il s’établit selon l’un des deux calculs suivants :
- La moyenne des salaires des 12 derniers mois précédant le jour de la rupture de votre contrat ;
- Ou, si cette solution est plus favorable pour vous, la moyenne des salaires des 3 derniers mois.
Dans ce dernier cas, toute prime ou gratification de caractère annuel et exceptionnel qui vous est versée pendant cette période n’est prise en compte que dans la limite d’un montant calculé à due proportion. En clair, si vous avez perçu une prime annuelle de 900 € durant les 3 derniers mois d’activité, elle sera prise en compte à hauteur de 900 € / 12 x 3 = 225 €.
Vous travaillez à temps plein : calcul de l’indemnité de départ volontaire
L’indemnité légale de mise à la retraite dépend de votre ancienneté dans l’entreprise :
- Entre 10 et 15 ans d’ancienneté, vous bénéficiez d’un demi mois de salaire ;
- Entre 15 et 20 ans d’ancienneté, vous bénéficiez d’un mois de salaire ;
- Entre 20 et 25 ans d’ancienneté, vous bénéficiez d’un mois et demi de salaire ;
- Dès 30 ans d’ancienneté, votre indemnité de départ volontaire s’élève à 2 mois de salaire.
Notez que votre convention collective peut prévoir des dispositions plus favorables.
Calcul du montant de l'indemnité de départ volontaire à la retraite
Danielle travaille depuis 21 ans dans son entreprise et partira à la retraite le 1er juillet 2025. En 2025, son salaire mensuel net était de 3 300 € brut. Elle a été augmentée de 150 € brut/mois en janvier 2025, pour arriver à 3 450 € brut/mois.
Déterminons dans un premier temps son salaire de référence :
- Si on prend le salaire des 12 derniers mois, le salaire de référence de Danielle sera de (6x3 450 + 6x3 300)/12 = 3 375 €
- Si on prend le salaire des 3 derniers mois, son salaire de référence sera (3x3 450)/3 = 3 450 €
Son employeur devra prendre le salaire de référence le plus avantageux pour elle. Dans le cas présent, il devra donc retenir un salaire de 3 450 € brut.
Compte tenu de son ancienneté dans l’entreprise et en l’absence de dispositions conventionnelles plus favorables, le montant de son indemnité de départ à la retraite sera de 1,5 x 3 450 € = 5 175 €.
L’indemnité sera ensuite soumise aux prélèvements sociaux, et à l’impôt sur le revenu (sauf dans le cas d’un plan de sauvegarde de l’emploi).
Vous avez travaillé à temps plein et à temps partiel : calcul de l’indemnité de départ volontaire
Si vous avez travaillé à temps partiel et à temps plein dans votre entreprise, votre indemnité de départ à la retraite est calculée proportionnellement aux périodes d'emploi accomplies selon l'une et l'autre de ces deux modalités depuis votre entrée dans l'entreprise.
L’objectif est ici de respecter le principe d’égalité entre les salariés à temps plein et ceux à temps partiel (article L.3123-5 du code du travail).
Calcul du montant de l'indemnité de départ à la retraite en cas de travail à temps plein et à temps partiel
François a travaillé 15 ans dans son entreprise, dont 11 ans à temps plein, et 4 ans à temps partiel. Le salaire brut le plus avantageux pour le calcul de son indemnité de départ à la retraite est de 1 500 € pour son mi-temps, soit l’équivalent 3 000 € pour un temps plein.
Son indemnité de départ à la retraite sera calculée sur la base d’un salaire de référence de 2 600 € : (3 000 x 11 / 15) + (1 500 x 4 / 15) = 2 600 €.
Compte tenu de son ancienneté dans l’entreprise, et en l’absence de dispositions conventionnelles plus favorables, son indemnité de départ à la retraite sera égale à un mois de salaire, soit 2 600 €.
Régime social et fiscal de l'indemnité de départ à la retraite
Votre départ a un lien avec un plan de sauvegarde de l’emploi
Si votre départ volontaire à la retraite intervient dans le cadre d’un plan de sauvegarde de l’emploi, votre indemnité de départ à la retraite bénéficie d’un traitement social et fiscal de faveur.
Ainsi, elle sera :
- Exonérée d’impôt sur le revenu ;
- Exonérée de cotisations sociales dans la limite de 2 fois le plafond annuel de la Sécurité sociale (PASS), soit 94 200 € en 2025 ;
- Exonérée de CSG et de CRDS dans la limite du montant de l’indemnité légale ou conventionnelle.
À noter que si vous bénéficiez d’une indemnité de départ à la retraite dont le montant est supérieur à 10 fois le PASS (soit 471 000 € en 2025), elle sera soumise aux cotisations sociales et à la CSG/CRDS dès le 1er euro.
Votre départ n’a pas de lien avec un plan de sauvegarde de l’emploi
Votre indemnité de départ à la retraite ne bénéficie pas d’un traitement social et fiscal de faveur.
Elle est considérée comme un salaire, et sera à ce titre soumise à l’impôt sur le revenu et assujettie aux cotisations et contributions sociales.
Votre employeur vous met à la retraite d’office
Conditions pour bénéficier de l’indemnité de mise à la retraite
Dès vos 70 ans, votre employeur a le droit de vous mettre à la retraite d’office. S’il le décide, il devra obligatoirement vous verser une indemnité de mise à la retraite, dès lors que vous remplissez les conditions suivantes :
- Vous êtes embauché en CDI ;
- Vous comptez au moins 1 an d’ancienneté (sans interruption) dans l’entreprise.
Simulation : calcul de l'indemnité de mise à la retraite
Calculer son salaire de référence
Si vous souhaitez réaliser une simulation du montant de votre indemnité de mise à la retraite d’office, la première chose à faire est de calculer votre salaire de référence.
Il s’établit selon l’un des deux calculs suivants :
- La moyenne des salaires des 12 derniers mois précédant le jour de l’envoi de votre lettre de mise à la retraite ;
- Ou, si cette solution est plus favorable pour vous, la moyenne des salaires des 3 derniers mois.
Dans ce dernier cas, toute prime ou gratification de caractère annuel et exceptionnel qui vous est versée pendant cette période n’est prise en compte que dans la limite d’un montant calculé à due proportion. En clair, si vous avez perçu une prime annuelle de 900 € durant les 3 derniers mois d’activité, elle sera prise en compte à hauteur de 900 € / 12 x 3 = 225 €.
Vous travaillez à temps plein : calculer le montant de son indemnité de mise à la retraite
Si votre départ à la retraite est à l’initiative de votre employeur, vous pouvez bénéficier d’une indemnité de mise à la retraite. Son montant doit être au moins égal à l’indemnité légale de licenciement, à savoir :
- À 1/4 de mois de salaire par année d’ancienneté pour les 10 premières années ;
- Puis 1/3 de mois de salaire par année d’ancienneté dès la 11ème année.
L'ancienneté est calculée à partir du jour de la rupture du contrat, c'est-à-dire à la fin du préavis, même si celui-ci n'est pas exécuté. En cas d'année incomplète, l'indemnité est calculée proportionnellement au nombre de mois complets.
À noter que votre convention collective peut prévoir des dispositions plus favorables que les dispositions légales.
Calcul de l'indemnité de mise à la retraite (temps plein)
Danielle travaille depuis 21 ans et 9 mois dans son entreprise et son employeur lui a envoyé la lettre de mise à la retraite le 1er juillet 2025. En 2024, son salaire mensuel net était de 3 300 € brut. Elle a été augmentée de 150 € brut/mois en janvier 2025, pour arriver à 3 450 € brut/mois.
Déterminons dans un premier temps son salaire de référence :
- Si on prend le salaire des 12 derniers mois, le salaire de référence de Danielle sera de (6x3 450 + 6x3 300)/12 = 3 375 €
- Si on prend le salaire des 3 derniers mois, son salaire de référence sera (3x3 450)/3 = 3 450 €
Son employeur devra prendre le salaire de référence le plus avantageux pour elle. Dans le cas présent, il devra donc retenir un salaire de 3 450 € brut.
Compte tenu de son ancienneté dans l’entreprise et en l’absence de dispositions conventionnelles plus favorables, le montant de son indemnité de mise à la retraite est égale à [(3450 x 1/4) x 10] + [(3450 x 1/3) x 11 ] + [(3450 x 1/3) x (9/12)] = 22 137,50 €.
Vous avez travaillé à temps plein et à temps partiel : calcul de l’indemnité de mise à la retraite
Si vous avez travaillé à temps partiel et à temps plein dans votre entreprise, votre indemnité de mise à la retraite d’office est calculée proportionnellement aux périodes d'emploi accomplies selon l'une et l'autre de ces deux modalités depuis votre entrée dans l'entreprise.
L’objectif est ici de respecter le principe d’égalité entre les salariés à temps plein et ceux à temps partiel (article L.3123-5 du code du travail).
Calcul de l'indemnité de mise à la retraite (temps plein et temps partiel)
François a travaillé 8 ans dans son entreprise, dont 4 ans à temps plein, et 4 ans à temps partiel. Le salaire brut le plus avantageux pour le calcul de son indemnité de mise à la retraite est de 1 500 € pour son mi-temps, soit l’équivalent 3 000 € pour un temps plein.
Son indemnité de mise à la retraite est égale à 4 500 € : (3 000 x 1 / 4 x 4) + (1 500 x 1/4 x 4) = 4 500 €.
Régime social et fiscal de l'indemnité de mise à la retraite
Si vous avez été mis à la retraite d’office par votre employeur, votre indemnité de mise à la retraite bénéficie d’un régime social et fiscal favorable.
Cotisations sociales
Les cotisations et contributions sociales dépendent du montant de votre indemnité de mise à la retraite d’office :
Montant de l’indemnité de mise à la retraite |
Cotisations de sécurité sociale |
CSG et CRDS |
Inférieure à 471 000 € en 2025 (10 PASS) |
Indemnité exonérée sur la part < 94 200 € en 2025 (2 PASS) |
Exonérée sur la part < 94 200 € en 2025 |
Supérieure à 471 000 € en 2025 |
Intégralement soumise |
Part > 94 200 € en 2025 intégralement soumise (sans abattement de 1,75 %) |
Impôt sur le revenu
Votre indemnité de mise à la retraite bénéficie d’une exonération partielle d’impôt sur le revenu.
L’exonération correspond au montant le plus avantageux parmi les options suivantes :
- Le montant minimum légal de l’indemnité de mise à la retraite, ou celui prévu par la convention ou l’accord collectif le cas échéant ;
- Ou 2 fois le montant de la rémunération annuelle brute que vous avez perçue l’année précédant votre mise à la retraite, dans la limite de 5 fois le PASS, soit 235 500 € en 2025 ;
- Ou 50 % du montant de votre indemnité dans la limite de 5 fois le PASS, soit 235 500 € en 2025.
L’accompagnement au départ à la retraite : l’indemnité de départ à la retraite des indépendants
Conditions d’obtention
Vous êtes affilié à la Sécurité sociale des indépendants (SSI) en tant qu’artisan, commerçant, ou professionnel libéral non règlementé ? Sachez que l’indemnité de départ à la retraite a été remplacée en 2015 par un nouveau dispositif : l’accompagnement au départ à la retraite (ADR).
L’ADR est soumise à plusieurs conditions. Pour en bénéficier, vous devez :
- Avoir atteint l’âge légal de départ à la retraite ;
- Être cotisant actif à la Sécurité sociale des indépendants (SSI) au moment du passage à la retraite ;
- Avoir cotisé pendant plus de 15 ans et 60 trimestres à la SSI ;
- Ne pas être imposable sur les revenus au cours des deux années civiles précédant le départ en retraite ;
- Et avoir été majoritairement affilié en tant qu’indépendant au cours de votre carrière professionnelle. De fait, au minimum 50 % de vos trimestres cotisés doivent avoir été obtenus lors d’une activité indépendante.
Si vous êtes un professionnel libéral règlementé (19 professions), vous n’êtes pas concerné par le dispositif ADR.
Montant de l’accompagnement au départ à la retraite
Le montant de l’indemnité versée dans le cadre de l’accompagnement de départ à la retraite (ADR) dépend de plusieurs facteurs tels que :
- Le montant de vos ressources et charges
- La valeur de votre fonds de commerce
- La durée de l’activité professionnelle
Le montant de l’accompagnement au départ à la retraite est fixé sur examen de la demande dans la limite des budgets disponibles.
Le montant du dispositif ADR peut être compris entre 7 500 € et 10 000 €.
Pour connaître les démarches permettant de demander l’accompagnement au départ à la retraite, nous vous invitons à consulter notre contenu dédié.
Autres questions sur l’indemnité de départ à la retraite (IFC)
Est-il possible de cumuler l’indemnité de fin de carrière avec d’autres sommes ?
Il est tout à fait possible de cumuler votre indemnité de départ à la retraite ou de mise à la retraite avec d’autres sommes :
- L’indemnité compensatrice de congés payés
- L’indemnité compensatrice de préavis
- Une contrepartie pécuniaire prévue en cas de clause de non-concurrence
Est-il possible de bénéficier d’une prime de départ à la retraite en cas de retraite progressive ?
Pas tout de suite. Dans le cadre de la retraite progressive, votre contrat de travail est toujours actif. Votre indemnité de départ à la retraite ne vous sera versée que lorsque vous cesserez définitivement votre travail.
Est-il possible de négocier le montant de mon indemnité de départ à la retraite ?
Oui. Vous pouvez négocier avec votre employeur afin d’obtenir une indemnité de départ à la retraite plus élevée que celle prévue par la loi ou votre convention collective.
Qui paie les indemnités de fin de carrière ?
La gestion et le financement des indemnités de fin de carrière peut être envisagée de deux manières :
- En interne, par votre entreprise elle-même ;
- En externe, via une compagnie d’assurance, par la souscription d’un contrat d’indemnités de fin de carrière.
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